le réel en déplacement

Chapitre I — Reflets habités
Dans ce premier chapitre, le miroir s’inscrit dans des espaces naturels. Forêt, eau, chemins deviennent des surfaces de passage où le réel se décale légèrement. Les présences humaines apparaissent, disparaissent ou ne laissent qu’une trace. Le paysage n’est jamais seul : il est habité, traversé, regardé. Ces images posent les bases du projet : un réel déplacé, sensible, où le regard circule entre ce qui est là et ce qui se reflète

Chapitre 2 — Reflets urbains
Dans ce deuxième chapitre, le miroir se confronte à l’espace urbain.
Murs, façades, surfaces construites deviennent des lieux de projection où le réel se fragmente et se recompose.
Les signes humains y sont plus affirmés : écritures, traces, marques, interventions.
Le paysage urbain s’impose, se répète, se revendique. Le miroir met en tension ces écritures avec le regard qui les traverse.
Ici, le réel ne se contente plus de passer.
Il s’inscrit, se signe, laissant apparaître un dialogue entre la ville, le reflet et celui qui regarde.